Nom : Borrliak
Prénom : Ambre
Surnom : Aucun
Age : seize ans
Pays d’origine : Russie
Parent divin : Eris, déesse de la discorde
Pouvoir : Implanter la haine et la colère contre quelqu’un dans le cœur d’une personne d’un simple contact de peau. Peu puissants, ces sentiments ne durent que quelques minutes mais, belle parleuse mesquine, elle sait les renforcer pendant qu’ils sont actifs.
Arme : Un poignard glissé dans sa botte. (bon.)
Objet magique : Une pomme qui rend fou de rage celui qui en avale ne serait-ce qu’on morceau, morceau qui se régénère, bien entendu. (allusion à la fameuse pomme de discorde !)
Animal de compagnie : Ambre avait un serpent, enfant, mais son caractère emporté ne lui a pas permis d’avoir la patience de l’apprivoiser et elle dû s’en séparer après une morsure qui lui aurait été fatale sans les soin de son père. L’expérience lui a laissé une cicatrice sur le poignet et, dégoûtée, elle n’a plus d’animaux.
Description physique : Profil droit, menton fier, regard hautain et méprisant : Ambre est une fille de riches qui se croit au-dessus des autres et ça se voit. Elle impose sa personne, dégage un parfum de puissance, de grandeur, a l’air inquiétante, semble pour le moins importante… Ce n’est pas le genre de personne que l’on ignore facilement même si, bien souvent, on en a envie. Ses cheveux d’un noir d’ébène sont souvent nattés en une tresse qui lui bat les flancs mais de nombreuses mèches s’en échappent, tombant sur son front et sur ses yeux. Ces derniers, également noirs, semblent vous fixer comme les yeux d’un prédateur et ils inspirent la crainte, si bien qu’on croirait plus Ambre fille de Phobos que d’Eris. Elle a trois anneaux à une oreille, la gauche, et aucun dans l’autre. Son poignet droit porte la cicatrice de la morsure de son serpent qui la fait toujours un peu souffrir, si bien qu’elle n’est plus ambidextre mais gauchère. Beauté lointaine, glacée et impressionnante, Ambre est souvent vêtu d’une cuirasse noire.
Caractère : Capricieuse, emportée, violente, mesquine, sadique, calculatrice, maussade, solitaire… A première vue, Ambre n’a rien pour plaire ! Elle cache la plupart de ses sentiments sous une carapace de froideur, laissant seul colère et haine s’en échapper. Certain la disent purement cruelle, d’autres incomprise, et c’est vrai que la fille d’Eris est dur à comprendre. Elle aime déstabiliser ses adversaires, brouiller les pistes… Même si au fond, elle a toujours une stratégie bien précise ! Mais, rendons à César ce qui est à César (jamais compris cette expression, mais je l’adore !), Ambre n’est pas dépourvue de qualité, loin de là ! Elle se laisse emporter par la colère, mais jamais par la peur, gardant un sang-froid étonnant des les situations les plus désespérées. Elle est d’ailleurs très débrouillarde. Son intelligence n’a d’égal que sa vitesse, son agilité et sa force au combat, faisant d’elle un ennemi redoutable et difficile à battre. Pour la bataille, sa seule faiblesse et en effet une confiance en soi bien trop élevé et, à long terme, une légère déconcentration (d’où sa vitesse qui lui permet de finir un combat en quatre coups de cuillère à pot, avant que son ennui et son énervement se manifestent).
Histoire : Eris était assez exigeante, et elle n’avait donc pas
choisi n’importe quel passant pour le séduire, non ! C’était sur un très
riche marchand qu’elle avait jeté son dévolu. Il était marié, mais ce n’était
pas un problème pour la déesse qui créa une dispute entre lui et sa femme afin
de les séparer. Le lendemain du divorce, elle était dans le lit du marchand qui
se nommait Borrliak. Après quelques heures, elle remonta à l’Olympe… Avant de
se rendre compte qu’elle était enceinte ! Cela la contrariait fort.
L’enfant, pour elle, serait un fardeau… Elle décida qu’en fin de compte, elle
confierait sa fille à son amant. Le lendemain de son accouchement, elle
descendit donc sur terre et donna le bébé à Borrliak. Ce dernier l’accepta sans
savoir qu’elle aurait des pouvoirs et serait demi-déesse…
Le
temps passa. Ambre, puisque c’est ainsi qu’elle se nommait, s’habitua à vivre
dans le confort et à être gâtée, jusqu’au jour où son pouvoir se déclencha. A
chaque fois qu’une partie de sa peau effleurait une partie de la peau de son
père, celui devenait anormalement furieux et irascible. Il la punissait et lui
criait dessus sans qu’elle ait rien fait, la battant parfois. A chaque fois, il
s’apaisait au bout de quelques minutes, ne comprenant pourquoi le visage de sa
fille était meurtri et couvert de larmes. Quand elle lui disait que c’était lui
la cause de ses blessures, il traitait de menteuse, et s’il voulait l’embrasser
pour la consoler, il redevenait soudain méchant. Un soir qu’Ambre s’échappait
dans sa chambre pour fuir la colère de son père, la joue encore cuisante d’une
gifle qu’elle avait reçue, la jeune fille décida de s’échapper. Sa fugue était
bien organisée : elle prit de l’argent, des habits et de la nourriture
puis partit par la fenêtre de sa chambre et se retrouva à la rue. Elle avait
quinze ans…
La jeune fille décida de se rendre dans une pension dont elle avait
entendu parler et qu’elle atteindrait par le train. Mais alors qu’elle était
sur la gare, elle croisa sa mère (sans savoir que c’était elle, bien
entendu !) Eris était en effet descendue sur terre afin de trouver une nouvelle
conquête. Se sentant devenir en colère en effleurant la main de sa fille, elle
la reconnut soudain et décida de faire quelque pour elle. Sitôt revenue à
l’Olympe, elle alla chercher une sorte de pomme de discorde, écrivit des
explications sur une lettre et envoya le tout à sa fille. Quand Ambre, une fois
dans le train, voulut ouvrir sa valise pour en sortir les chips qu’elle avait
pris, elle tomba sur la pomme et sur la lettre qu’elle lut avec curiosité. Elle
décida qu’elle apprendrait à maîtriser son pouvoir seul, comme elle l’avait
toujours été, et que ses premiers essais auraient lieu à la pension. Au bout
d’un an, elle avait atteint un niveau pas trop mal et avait développé le sale
caractère qu’elle a aujourd’hui. Mais on arrivait dans la période des examens
et le stress général déclenchait ses pouvoirs involontairement. Craignant les
foudres de ses professeurs, Ambre finit par se dire qu’elle voudrait bien de
l’aide pour maîtriser son pouvoir. Elle se retrouva donc à Gnôti Sauton.
Mar 4 Nov - 16:19
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