Gnôti Sauton
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Apprends à te connaître toi-même.
 
PortailAccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon : la prochaine extension ...
Voir le deal

 

 Hedras Balhinr [validée]

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Hedras Balhinr
Mortel
Hedras Balhinr


Masculin Nombre de messages : 7
Age : 30
Parent divin : Hephaïstos
Date d'inscription : 05/11/2008

Hedras Balhinr [validée] Empty
MessageSujet: Hedras Balhinr [validée]   Hedras Balhinr [validée] Icon_minitimeMer 5 Nov - 18:53

Nom : Balhinr

Prénom :Hedras

Surnom:aucun à ce jour

Age :19ans

Pays d'origine ( facultatif) :

Parent divin :Héphaïstos

Pouvoir : capacité à faire chauffer les éléments mineraux à quelques dizaines de degrés. Pratique pour bouillir de l'eau ou chauffer son lit...Cependant, cela demande une grande dépense d'énergie et il ne peut maintenir son pouvoir que quelques minutes.Ensuite, le chauffage n'est pas du tout instantané, il faut jusqu'à 30secondes pour arriver à la barre des 100°, au dessus de laquelle il n'a jamais réussi à aller.

Métier : ( uniquement pour le personnel )

Arme : un humour complètement décalé et moisi

Objets magiques : (facultatif)

Animal de compagnie (facultatif) :

Description physique : Plutôt courteaud, ses jambes sont musculeuses, on voit tout un tas de veines apparentes sous la peau, qui palpitent rapidement. Ses pieds sont totalement "carrés", ce qui le gène pour courir. Il porte des chaussures en toile et renforcés par des bouts de métal. Des chaussures carrées comme des boites de sardines, faites par ses soins avec un couvercle de poubelle et un vieux pantalon d'un rose affreux, qui, tâché de boue et d'autres résidus pour le moins douteux, a prit la couleur du vieux sang, brunâtre avec quelques taches de rose, d'autres taches qui semblent être du goudron.Il porte sur ses jambes un pantalon acheté pour rien du tout chez un marchand ambulant. Il est en lin à peine traité. Il semble avoir bien vécu, car les coutures sont prêtes à lâcher, et le lin craque à certains endroits, comme au niveau des genoux. Par un trou au niveau de la cuisse, on voit apparaître un bout de tissu déchiqueté où des tas de "HB" sont brodés. On dirait vaguement un caleçon, mais peut-être est-ce simplement un mouchoir en train de glisser de la poche gauche du pantalon, complètement trouée; un souvenir d'enfance, probablement, mais à le voir on n'aurait pas su le dire. Comme toutes ses possessions, le bout de tissu était complètement élimé, sale, usé jusqu'à la corde.

Sa chemise autrefois brune pendait sur le pantalon, et n'était guère de meilleure facture que ce dernier. Deux poches en bas de la chemise sonnaient comme si on avait mis des pièces dedans, ce qui était vérifié lorsque, avare et suspicieux, il sortait son bien pour vérifier son contenu. Quelques boutons manquaient, et à travers les trous laissés par ceux-ci, on voyait un torse plutôt musclé, mais sale et barré de cicatrices diverses, d'une marque au fer rouge représentant un cyclope. Un gilet en peau de mouton grossièrement tanné complétait ce personnage complètement décalé. C'était probablement sa meilleure possession. Il semblait avoir encaissé de rudes chocs.

Son cou était parcouru de mouvements perpetuels, ses muscles se contractaient au hasard. Il avait un cou très court, surmonté par une face ronde et rouge, comme perpetuellement énervé. Sa bouche est toute petite, et ses lèvres semblent avoir été ravagées par un quelconque acide. Une chose frappe lorsqu'on le dévisage, c'est qu'il n'a pas de nez. Enfin...plus de nez. Ses yeux sont enfoncés dans leurs orbites. Et le regard bleu aqueux semble vous suivre sans jamais se détourner. Ses oreilles sont décollées et grandes. Mais à l'oreille gauche, il manque un lobe. Et il est totalement chauve. Son crâne est lui aussi marqué du cyclope.




Caractère : Totalement instable, voila comment on pourrait le définir. Un instant il parle tranquillement avec des gens, l'instant d'après il se ferme comme une huitre. Il est schizophrène sur les bords. Il appelle son autre personnalité, dont il connait l'existence, sa conscience. Parfois elle prend le dessus, le rendant violent, imprévisible et taciturne, encore plus taciturne qu'habituellement. Cette "conscience" est plutôt paranoïaque, tandis que l'autre, bien qu'un peu associale, peu se mêler aux gens. Cette conscience lui a valu des ennuis, mais il l'a acquise dans les rues de la capitale, où la vie n'est pas rose tous les jours...




Histoire :
Récit d'une histoire extraordinaire:
"Mes premiers souvenirs conscients sont ceux d'une sorte de cagibi, notre famille, réduite à une mère alcoolique et moi, y survivait tant bien que mal grâce aux quelques allocations données par le gouvernement. Ma mère ne travaillait pas, mais elle ne m'élevait pas réellement non plus. Elle buvait les deux tiers des allocations et se plaignait de n'en avoir pas assez. Elle maudissait ce qu'elle appellait "son dieu". A cinq ans, comment aurais-je pu comprendre ce que cela signifiait?
Toujours est-il, qu'avant mes dix ans ma mère mourrait, me laissant un mot, totalement délirant, qui disait que j'était le fils d'un dieu forgeron.Elle y mentionnait également un lieu appelé Gnoti Sauton, et où je devais demander à être envoyé en cas de danger. Je n'y pris pas garde alors. Bientôt, les créanciers récupérerent leur bien, ce cagibi minable. Et je me retrouvais à la rue, du haut de mes dix ans. Personne ne s'étant soucié de moi. Et ma famille, si j'en avais une quelque part, m'ignorant. Commença un monde de violences. J'avais quelqu'argent sur moi, mais dans une ruelle sombre un bandit eut tôt fait de me détrousser.Sans le sou, j'essayais de squatter les nombreuses communautés de pauvres vivant dans les rues. Arriva un moment où nous n'eûmes plus de feu, et là se produisit quelque chose d'étrange: une chaleur intense irradia mon esprit, et me réchauffa tout le corps. Les autres clochards furent étonnés et se rapprochèrent de moi. D'après eux, la température de l'air autour de moi était monté d'un coup aux alentours de 20°. Chose fort rare en hiver, dans cette ville, où il faisait aux alentours de -10°. Ils voulurent que je refasse marcher mon pouvoir, chose que je ne pouvais faire. Ils me chassèrent alors, me traitant d'égoïste. Je retournais donc dans les rues.Là commença le cauchemar. J'avais près de 14ans, mais la vie étant dure, je m'enrolais en guerre contre le monde. Dans un gang plus précisément. Le chef du quartier, un sadique, me tatoua avec une sorte de tisonnier un cyclope sur le crâne, et sur le torse, preuve que je lui appartenais. Je me rasais dès lors le crâne, et m'enfonçais dans une spirale de violence. Les combats au couteau laissèrent sur moi des marques profondes, témoins en sont les cicatrices que l'on voyait à travers sa chemise délabrée. Puis ce fut le combat de trop, deux mois après mes dix-neuf ans, n'en pouvant plus, je provoquais le maître de quartier. Mon pouvoir fit des merveilles sur son couteau, et se déclencha encore une fois sans mon avis. Cependant, je ne pouvais rien contre son révolver, j'étais trop épuisé. Ma conscience me procura un surplus de rage et j'attaquais, à main nues. Il tira une fois, deux fois.Je m'effondrais, une balle avait démoli mon avant bras gauche, d'où le sang coulait. L'autre était perdue dans le platre d'un mur. Un chien enorme choisit ce moment pour apparaitre et commencer à manger le bandit. Aubaine pour moi, certes, mais le sang s'écoulait toujours de ma blessures. Je me souvins alors qu'on pouvait cotériser une blessure avec de la chaleur. Je m'éloignais, tenant mon bras, un rictus de douleur sur le visage, et à l'abri d'une poubelle, j'utilisais mon pouvoir consciemment, pour la première fois, avec beaucoup d'efforts. Il me fallut en effet près de dix minutes pour parvenir à faire chauffer le bout de métal que j'avais trouvé, pour ainsi arrêter le saignement. En tout cas, mon séjour ici était très compromis. Dans un moment d'espoir, je murmurais: "j'aimerais que l'on me transporte à Gnôti Sauton". Chose incroyable, une porte, passablement démodée, apparut devant moi. Avec un peu de chance c'était celle d'une pizzeria, me disais-je en la franchissant..."
Une rayure de plusieurs pages termine le récit à cet endroit. Il est signé Hedras Balhinr.
Revenir en haut Aller en bas
Mélina
Admin
Mélina


Féminin Nombre de messages : 1095
Age : 43
Localisation : J'ai des yeux partout.
Parent divin : Hadès
Date d'inscription : 15/07/2008

Hedras Balhinr [validée] Empty
MessageSujet: Re: Hedras Balhinr [validée]   Hedras Balhinr [validée] Icon_minitimeMer 5 Nov - 20:53

Hmmm... J'ai lu en diagonale (bad admin) mais on va dire que c'est bon. Si Lou passe par là, et qu'elle estime que ça va pas, et ben tant pis.

Bienvenu.
Revenir en haut Aller en bas
http://twiligh-children.forumr.net
Hedras Balhinr
Mortel
Hedras Balhinr


Masculin Nombre de messages : 7
Age : 30
Parent divin : Hephaïstos
Date d'inscription : 05/11/2008

Hedras Balhinr [validée] Empty
MessageSujet: Re: Hedras Balhinr [validée]   Hedras Balhinr [validée] Icon_minitimeMer 5 Nov - 20:57

eh bien merci, ça me va droit au coeur.
ah, aussi, si j'trouves un avatar qui correspond mieux, j'le changerais
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Hedras Balhinr [validée] Empty
MessageSujet: Re: Hedras Balhinr [validée]   Hedras Balhinr [validée] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Hedras Balhinr [validée]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Gnôti Sauton :: Avant de Jouer :: Présentations :: Apprentis Demi-Dieux-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser